J’ai dénoncé sur Public Sénat une « provocation inacceptable ». « Ce serait un déni de démocratie. Le président du Sénat a raison. Ce ne serait pas acceptable ». Sur le fond, je rejette l’ensemble de la réforme qui vise « au démantèlement du service public. (…) A force d’avoir réduit l’investissement public, au bout du compte, on tue la SNCF au lieu de s’attaquer aux causes réelles ».